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La rédaction d’une lettre ouverte aux journaux permet de faire entendre son opinion rapidement. Elle ne nécessite pas beaucoup de recherche et peut être brève et concise – il suffit de 150 à 200 mots! Quand le temps presse, on choisit de rédiger une lettre ouverte aux journaux.

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Une fois la lettre soumise, on peut chercher notre nom sur internet ou faire un suivi avec le journal pour s’informer si elle a été publiée ou quand elle le sera.

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Votre lettre n’a pas besoin d’être parfaite et il n’est pas nécessaire d’être un.e expert.e pour donner votre opinion. Il suffit d’avoir un enjeu qui vous tient à cœur.

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Lorsque vous publiez sur les médias sociaux, soyez authentique, exprimez-vous avec votre cœur. Même en ligne, les gens veulent échanger avec d’autres êtres humains, alors soyez vous-même et votre message passera mieux!

« Mon gouvernement ne réduira pas l’aide étrangère (…) Nous pensons que le moment est venu pour le Canada de jouer un rôle de chef de file, fidèle à sa tradition de générosité et d’efficacité dans le soutien aux populations les plus vulnérables du monde. »
— Mark Carney, Premier ministre du Canada

Pour chaque 100 $ dépensés par le Canada pour d’autres enjeux, à peine 34 sous vont à l'assistance internationale. Cela peut paraître infime ici, mais cela peut tout changer ailleurs : l’accès à des médicaments ou vaccins vitaux, un repas nutritif, ou un abri après une catastrophe. Ce petit investissement aide les mères à protéger leurs enfants, crée des opportunités économiques et constitue une bouée de sauvetage lors de crises humanitaires. Toute réduction de cet investissement entraînera des conséquences dévastatrices pour des millions de personnes.

Et il n’est pas seulement question des autres — cela nous concerne toustes. La pandémie a montré que les maladies ne s’arrêtent pas aux frontières. Aujourd’hui, la tuberculose (TB) est en hausse ici au Canada, avec une augmentation des cas dans tout le pays en 2025. En soutenant des initiatives, telles que le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, nous affrontons ces menaces directement et renforçons les systèmes de santé, puisque protéger chaque communauté est indispensable pour garantir notre sécurité collective.

Face à la menace de la famine et à l’aggravation de la malnutrition, notre assistance internationale veille à ce que les enfants disposent de la nourriture et des soins indispensables pour vivre et grandir. Ce sont des investissements judicieux et humains, qui montrent le Canada tel que nous voulons qu’il soit : un pays qui tient ses promesses, qui se mobilise et qui contribue à un avenir meilleur et plus porteur d’espoir pour toustes. Alors que le budget 2025 approche, nous avons l’occasion de préserver cet impact. Parce que même un petit geste peut tout changer.

La demande : Maintenir l’enveloppe de l’aide internationale à 10,6 milliards $ en 2025-2026 pour préserver le rôle de chef de file du Canada en santé mondiale, nutrition et développement, et nous donner la possibilité de :
- contribuer à #GagnerLeCombat contre le sida, la tuberculose et le paludisme en nous appuyant sur notre niveau actuel de soutien important (1,21 milliard de dollars sur trois ans) au Fonds mondial.
- faire un investissement dans la nutrition, l’un des moyens les plus rentables de sauver la vie des femmes et des enfants.

l’impact humain de 34 sous dans le nord du Nigéria

Imaginez être parent dans le nord du Nigéria. Les prix des aliments explosent, les services sont perturbés, l’insécurité est constante. Votre enfant est fragile, son corps affaibli par une malnutrition sévère. Vous savez qu’un traitement existe : un aliment thérapeutique prêt à l’emploi (ATPE), simple et efficace, qui peut le sauver.  

Mais lorsque vous vous précipitez à la clinique, on vous annonce qu’il n’y en a plus. Ce n’est pas la science qui a échoué, mais le monde qui n’a pas tenu ses promesses. Les récentes réductions budgétaires ont privé les enfants les plus vulnérables de traitements essentiels.  

C’est la réalité de millions de familles aujourd’hui. Rien qu’au Nigéria, 3,5 millions d’enfants de moins de cinq ans risquent de mourir dans les mois à venir si les réserves alimentaires d’urgence viennent à manquer.   

C’est pour cette raison que la récente décision du Canada de devenir donateur du Fonds pour la nutrition de l’enfant est si importante. Ce mécanisme de financement innovant permet de garantir que les ATPE et d’autres services nutritionnels vitaux parviennent aux communautés qui en ont le plus besoin. Pour les parents, le soutien du Canada, en particulier à un moment où la solidarité mondiale vacille, peut faire la différence entre perdre un enfant à cause de la faim ou le voir se rétablir et s’épanouir. 

Notre modeste budget d’aide internationale rend cela possible, avec seulement 34 sous par rapport à chaque 100 dollars dépensés par le Canada pour d’autres enjeux. 

le risque de l’inaction

Les défis auxquels nous sommes confronté.e.s sont urgents. Des maladies telles que le sida, la TB et le paludisme continuent de tuer 2,4 millions de personnes chaque année, tandis que près de 720 millions de personnes souffrent de la faim et plus de 1 milliard de femmes et d’enfants souffrent de malnutrition.

Pendant ce temps, les nations les plus riches reculent. Le G7, qui fournit environ les trois quarts de l’ensemble des fonds consacrés au développement dans le monde, devrait réduire son aide de près d’un tiers d’ici 2026. Si ces réductions sont adoptées, il s’agira de la baisse la plus forte depuis 1960.

Le Canada se distingue comme l’un des rares pays du G7 à ne pas avoir annoncé de réduction de son assistance internationale à ce jour. En effet, le premier ministre Mark Carney s’est engagé pendant la campagne électorale à ne pas réduire la coopération étrangère. Cependant, il a récemment demandé au gouvernement de procéder à d’importantes éductions budgétaires dans tous les ministères dans le cadre des prochains budgets, et l'assistance internationale pourrait être sur la sellette. À l’heure où d’autres se retirent, le Canada a aujourd’hui une occasion unique — et une responsabilité — de montrer la voie et de réaffirmer ses engagements internationaux.

investir dans l’aide internationale contribue directement à la prospérité et à la sécurité du Canada

L’investissement dans le développement ne se fait pas au détriment des priorités intérieures. Il contribue directement à la prospérité et à la sécurité du Canada. Des systèmes de santé solides à l’étranger contribuent à empêcher la prochaine pandémie d’atteindre nos frontières, tandis que l’accès à une alimentation nutritive à l’étranger crée des économies plus fortes et plus stables qui, à leur tour, deviennent les partenaires commerciaux de demain.

En finançant efficacement la solidarité internationale, le Canada protège des vies, renforce les communautés et veille à ce que nos investissements à l’étranger aient des retombées durables chez nous.

un investissement pour des retombées inestimables

Bien que le Canada n’investisse qu’une petite partie de sa richesse — moins de 1 % (0,36 %) — dans la lutte pour mettre fin à la pauvreté dans le monde, ces contributions créent une dynamique et permettent d’obtenir des milliards de dollars d’investissements de la part des partenaires mondiaux. C’est grâce à notre enveloppe d’aide internationale — la ligne budgétaire d’où provient la grande majorité de l'assistance internationale du Canada — importante et croissante que le Canada s’impose en tant que leader mondial et incite d’autres pays à investir.  

l’engagement du Canada transcende les affiliations politiques

Le Canada s’est forgé un héritage non partisan dont il peut être fier, en ayant un impact partout dans le monde, surtout dans la vie des femmes et des enfants. À travers les gouvernements, les Canadien.ne.s ont soutenu la santé, l’éducation, la vaccination et la nutrition. Il ne s’agit pas de choix partisans, mais bien de valeurs canadiennes. Si le Canada ne peut à lui seul combler le vide laissé par les autres pays donateurs, il peut contribuer à empêcher tout recul en doublant ses investissements dans la santé et la nutrition mondiales. À titre de président du G7, cela démontrerait clairement que le Canada demeure fidèle à ses engagements et est prêt à montrer l’exemple.

Le budget 2025 est l’occasion pour nous de perpétuer cet héritage. En préservant l’assistance internationale, en investissant dans le Fonds mondial et en intensifiant la lutte contre la malnutrition, le Canada peut jouer un rôle de premier plan lorsque le monde a le plus besoin de nous.

les conséquences dévastatrices des réductions budgétaires mondiales

Les réductions de l’aide internationale ont des conséquences désastreuses à grande échelle.

  • En Afrique, 5,7 millions de personnes supplémentaires tomberont dans l’extrême pauvreté cette année, et ce nombre grimpera à 19 millions d’ici 2030.
  • Des pays comme le Libéria, Haïti, le Malawi et le Soudan du Sud — où l’aide américaine représentait autrefois jusqu’à 40 % des budgets de santé et d’éducation — voient aujourd’hui leurs services essentiels s’effondrer.
  • L'assistance internationale en matière de nutrition devrait diminuer de 44 % en 2025 par rapport à 2022, exposant 2,3 millions d’enfants souffrant de malnutrition aiguë sévère au risque de ne plus bénéficier de traitement et entraînant 163 500 décès supplémentaires d’enfants chaque année.
  • Les réductions budgétaires américaines pourraient entraîner jusqu’à 3 millions de décès évitables par an et priver 95 millions de personnes de l’accès aux soins de santé, notamment aux vaccins, aux soins maternels et aux traitements contre le paludisme, la TB et le VIH. 

La demande : Maintenir l’enveloppe de l’aide internationale à 10,6 milliards $ en 2025-2026 pour préserver le rôle de chef de file du Canada en santé mondiale, nutrition et développement, et nous donner la possibilité de :
- contribuer à #GagnerLeCombat contre le sida, la tuberculose et le paludisme en nous appuyant sur notre niveau actuel de soutien important (1,21 milliard de dollars sur trois ans) au Fonds mondial.
- faire un investissement dans la nutrition, l’un des moyens les plus rentables de sauver la vie des femmes et des enfants.

dernières nouvelles de nos campagne 

la nutrition

  • Le Canada a annoncé un engagement audacieux de 78 millions de dollars en faveur du Fonds pour la nutrition infantile (FNI), un investissement vital qui contribuera à lutter contre la malnutrition sévère et donnera à davantage d'enfants la chance de survivre et de s'épanouir. Cette annonce intervient à un moment critique : partout dans le monde, les enfants sont confrontés à des crises qui se chevauchent – conflits, chocs climatiques et famine croissante – qui font de la malnutrition une urgence quotidienne. Cela a été rendu possible en partie grâce aux bénévolesdévoué.e.s de Résultats Canada. Au cours des derniers mois, iels ont écrit des lettres, rencontré des députés et sensibilisé leurs communautés afin de montrer pourquoi la nutrition doit rester une priorité mondiale. Nous voulons également célébrer les Leaders de Résultats, qui ont contribué à mieux faire connaître la FNI auprès des décideurs. Leurs efforts ont porté leurs fruits.

#BudgetLeadership

  • Un grand merci à tout le monde qui a pris le temps de répondre à la consultation prébudgétaire du ministère des Finances le mois dernier pour dire au gouvernement que nos investissements dans l’aide internationale doivent être protégés afin que nous puissions continuer à soutenir de manière ambitieuse des mécanismes vitaux tels que le Fonds mondial. Consultez la soumission de Résultats au Comité des finances. au Comité des finances.

histoire

Fanose Hirreno est agent de santé communautaire dans la région de Koka, en Éthiopie, depuis 18 ans.

Il y a vingt ans, de nombreuses familles en Éthiopie avaient peu accès aux soins de santé de base, et des maladies évitables, comme le VIH, la TB et le paludisme ont coûté la vie à d’innombrables personnes.

Aujourd’hui, grâce à plus de 40 000 agent.e.s de santé de proximité, soutenu.e.s par un engagement national fort et l’appui du Fonds mondial, des communautés à travers le pays ont accès à des soins vitaux — une preuve concrète que des investissements audacieux peuvent transformer un système de santé en une génération.

Certain.e.s agent.e.s de santé de proximité, comme Fanose, sont au service de leur communauté depuis le tout début du programme et peuvent témoigner directement des progrès remarquables qu’iels ont contribué à réaliser.

Lisez l’article complet sur le site Web du Fonds mondial.

vidéo

Pendant lsa campagne électorale, Premier ministre Mark Carney a fait une promesse : « Mon gouvernement ne réduira pas l'aide étrangère. »

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